Au moment ou la parole est difficile à exprimer pour l’homme, il peut très bien avoir recours à la musique. De ce fait, il a été débattu sur le caractère inné ou acquis de la compétence musicale chez l’homme et sur le caractère adaptif ou non de cette compétence. A cet effet, il en ressort les compétences culturelles, biologiques et adaptives.
Compétence culturelle
Le chant et le langage sortent de la compétence cérébrale chez l’être humain. La musique produite, créée par l’être humain est peu réceptive chez les animaux. Ces derniers sans créativité font leurs chansons instinctivement. Après avoir acquis un long apprentissage, un individu peut très bien pratiquer une musique à haut niveau. Ce phénomène évoque une origine culturelle longuement renforcé par les ethnomusicologues ainsi que les compositeurs contemporains.
Compétence biologique
L’IRM du cerveau démontre que la musique active certaines zones de plaisir du cerveau ce qui amène la personne à chanter et danser spontanément sur de la musique entendue. Ce phénomène encourage la biomusicologie. D’après une expérience, il existe un substrat biologique dans la structure du cerveau. On a même estimé que tout être humain possède une compétence musicale biologiquement acquise. Dés réseaux neuronaux particuliers sont mobilisés par la mémorisation ou la production d’une mélodie. ll existe un lien entre musique et fonctions cérébrales par le fait d’associer la musicologie à la génétique.
Compétence adaptative
Le fait d’entendre une mélodie dans une vie de groupe génère une envie de s’y associer. Il est estimé par l’auteur Wallin qu’en cimentant socialement les groupes humains, la musique et la danse sont susceptibles d’acquérir une valeur adaptative. La musique contribue beaucoup au tissage des liens sociaux : les hymnes le font à l’échelle des nations, les groupes de rock à celle des communautés d’adolescents. Le lien social est perçu à travers la musique qui stimule des régions du cerveau.
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